Et ça ne l'était pas. Par contre, à la fin avant de rouler mes découpes de pâte dans le sucre j'ai consulté un forum. Oh là là c'était compliqué, on parle de pectine, d'alginate, une température au degré près pour la cuisson, Bref,heureusement que j'ai abordé l’exercice en profane, sinon je n'aurais même pas commencé. C'est un travail sur quelques jours car il faut que ça sèche. Comme j'étais beaucoup en cuisine, j'ai occupé le temps d'attente dans la confection de petits sapin en meringue; là aussi pas la peine de me demander quel genre de meringue italienne, suisse ou française (je regarde le meilleur pâtissier, donc je connais les termes, mais pas les recettes). Et puis je me suis attaquée à un grand classique chez moi: l'orangette! Mais attention ça se fait à petite dose, car on les manipule plusieurs fois une par une et ça devient rapidement fatiguant. Il me reste encore le glaçage au chocolat à faire.
Avec la pâte de coing tu t'es vraiment attaquée à un gros travail. Didier est un spécialiste car il a toujours vu sa maman faire la pâte de coing chaque année. C'est assez physique car il faut tourner la pâte durant la cuisson ( au moins une heure) et elle devient très épaisse. Quand Didier en fait on se relaie à ce moment-là.
RépondreSupprimerSurtout ne les conserve pas au réfrigérateur! Le mieux est sur une plaque de marbre (si tu as une commode recouverte de marbre par exemple) avec un torchon dessus.
oui c'est fatigant de tourner continuellement, mais je suis ambidextre c'est un avantage. Merci du conseil, je voulais les mettre dans une boîte de métal avec du papier entre des couches.
RépondreSupprimerC'est fatiguant en effet mais numéro 2 m'aide à touiller car elle adore... touiller non, mais plutôt les manger. J'en ai fait beaucoup et il n'en reste plus. Il me reste encore une 10aine de coings en bas du frigo ; j'en referais probablement une autre série.
RépondreSupprimerAvec le jus, je fais aussi de la gelée de coings. Rien ne se perd et c'est un délice.
Mmhmm ...ça sent déjà Noël par ici !!
RépondreSupprimerLa pâte de coings, je l'ai toujours ratée.. pleine de grains durs ou trop collante ! Bref, j'ai abandonné ...:(
Alors je suis d'autant plus admirative !...
En effet, ça sent Noël chez Irma.
RépondreSupprimerJ'avais l'habitude de faire de la pâte de coings chaque année, quand j'avais des cognassiers dans le jardin. Mon homme adore la pâte de coings, il est très gourmand. Je n'ai pas le souvenir d'une difficulté quelconque pour la faire (oui, il faut quand même touiller ;-). Par contre il faut bien la laisser sécher... et si tu en fais beaucoup cela peut prendre de la place dans la maison.
Je laisse ma belle-soeur faire ses pâtes de coing comme chaque Noël, elle les réussit très bien.... Quant aux orangettes, je m'y suis tuée l'an passé et je n'ai aucune force en trop en ce moment pour m'y remettre... Aujourd'hui, d'ailleurs, c'est repos et tranquillité. Demain sera un autre jour. Je n'ai pas encore mis ma boite de cartonnette sur mon blog..
RépondreSupprimerMa belle-mère est une spécialiste de la pâte de coing, elle nous en prépare en pot. Elle fait aussi une excellente gelée de coings.
RépondreSupprimerJ'aimerais bien connaître ta recette des orangettes, tu as l'air super au point Irma :-))) Bises, Laurence
mmm! ça sent bon jusqu'ici. C'est un régal ces gourmandises à la pâte de coings. Maman en faisait de délicieuses aussi, malheureusement elle ne nous a pas transmis sa recette. Bonne dégustation.
RépondreSupprimerLa mère Noël s'active à ses fourneaux ! Une copine m'offre chaque année, un pot de gelée car c'est délicieux ! Je n'ai jamais fait de gelée, un jour, peut-être...
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